r Éditorial : Bêtise et tromperie

On peut être énarque, haut fonctionnaire et néanmoins bête comme ses pieds dans certaines occasions. Comment la ministre déléguée chargée de l’industrie a-t-elle pu accorder une dérogation qui relevait exclusivement de son collègue chargé de la santé ? Comment a-t-elle pu se laisser rouler dans la farine par un gros producteur d’eaux minérales naturelles ? Et comment celui-ci a-t-il pu croire que le recours à des traitements interdits serait accepté par toutes les administrations ?

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